- EAN13
- 9782330057985
- ISBN
- 978-2-330-05798-5
- Éditeur
- Actes Sud
- Date de publication
- 03/02/2016
- Collection
- Littérature anglaise
- Nombre de pages
- 272
- Dimensions
- 21,7 x 11,5 x 1,9 cm
- Poids
- 5 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Un soir, à la volée, conversation mondaine, un inconnu vous propose de profiter de sa chambre d'amis, si un jour vos pas vous entraînent vers chez lui. Et vous voilà dans un avion pour le bout du monde, toutes amarres larguées.
Pour Elyria, qui plaque tout sans prévenir personne, c'est une tentative d'évasion très directement dirigée contre la réalité. Même si elle sait que, d'après les critères en vigueur, elle peut cocher toutes les lignes de la check-list - mari, travail, appartement, mère indigne - et s'estimer heureuse, fermer les yeux sur la banale, insipide, parfois tragique médiocrité des choses est au-dessus de ses forces. Ainsi, regard écarquillé et logique extrêmement personnelle en bandoulière, la jeune New-Yorkaise atterrit à Wellington, Nouvelle- Zélande, pour rejoindre la ferme isolée où se trouve ladite chambre d'amis, à l'autre bout de l'île du Sud.
Expérience de vertige introspectif en autostop,« Personne ne disparaît» prend la tangente au pied de la lettre : trajectoire intérieure vouée à se mordre la queue (car partout l'on s'emmène avec soi), c'est aussi un envol, jalonné de rencontres improbables et de rendez-vous manqués, entre paysages grandioses et bords de route anonymes.
Sur la douloureuse déception d'être soi, le souffle court des promesses et la séduction du précipice, le premier roman de Catherine Lacey fait retentir une voix inoubliable, d'une originalité radicale et d'une drôlerie inespérée.
Pour Elyria, qui plaque tout sans prévenir personne, c'est une tentative d'évasion très directement dirigée contre la réalité. Même si elle sait que, d'après les critères en vigueur, elle peut cocher toutes les lignes de la check-list - mari, travail, appartement, mère indigne - et s'estimer heureuse, fermer les yeux sur la banale, insipide, parfois tragique médiocrité des choses est au-dessus de ses forces. Ainsi, regard écarquillé et logique extrêmement personnelle en bandoulière, la jeune New-Yorkaise atterrit à Wellington, Nouvelle- Zélande, pour rejoindre la ferme isolée où se trouve ladite chambre d'amis, à l'autre bout de l'île du Sud.
Expérience de vertige introspectif en autostop,« Personne ne disparaît» prend la tangente au pied de la lettre : trajectoire intérieure vouée à se mordre la queue (car partout l'on s'emmène avec soi), c'est aussi un envol, jalonné de rencontres improbables et de rendez-vous manqués, entre paysages grandioses et bords de route anonymes.
Sur la douloureuse déception d'être soi, le souffle court des promesses et la séduction du précipice, le premier roman de Catherine Lacey fait retentir une voix inoubliable, d'une originalité radicale et d'une drôlerie inespérée.
Commentaires des lecteurs
Elyria a quitté "sa vie" du jour au lendemain. Sans prévenir. Elle a laissé à New York son mari, direction la Nouvelle-Zélande suite à une vague invitation... C'est cette fuite, cette envie de disparition que l'on suit dans une sorte ...
Lire la suiteElyria, une trentenaire Américaine, quitte son travail, son mari du jour au lendemain sans prévenir quiconque et s’envole pour la Nouvelle-Zélande. Un peu avant lors d'une soirée, elle a juste échangé quelques mots avec un écrivain un peu bourru lui ...
Lire la suitePartir pour se retrouver
Un matin à New York, une jeune femme attend que son mari parte travailler pour quitter discrètement l’appartement conjugal. Et elle s’envole pour la Nouvelle Zélande. Là-bas, dans un coin perdu, vit un vieil écrivain. Elle l’a croisée un jour ...
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