- EAN13
- 9782714310934
- ISBN
- 978-2-7143-1093-4
- Éditeur
- José Corti
- Date de publication
- 11/2012
- Collection
- Ibériques
- Nombre de pages
- 344
- Dimensions
- 18,1 x 13,6 x 2 cm
- Poids
- 232 g
- Fiches UNIMARC
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Dixième poésie verticale
De Roberto Juarroz
Traduit par François-Michel Durazzo
José Corti
Ibériques
Offres
Roberto JUARROZ
Dixième poesie verticale
Traduit de l’espagnol (Argentine) par F.M. Durazzo
Collection Ibériques (bilingue)
EAN 9782714310934
224 pages –23 Euros
Parution 4 octobre 2012
Roberto Juarroz (né en 1925, mort en 1995) est l’un des poètes argentins majeurs du XXème siècle. Il a publié toute son œuvre poétique sous un titre unique Poésie Verticale sans donner non plus aucun titre à ses poèmes.
Après avoir donné les derniers recueils de Juarroz : Treizième, Quatorzième et Quinzième Poésie verticale, nous proposons ici l’un des derniers recueils demeurés inédits en français.
Une solitude à l’intérieur,
une autre à l’extérieur.
Il est des moments
où les deux solitudes
ne peuvent se toucher.
L’homme se retrouve alors au milieu
comme une porte
inopinément fermée.
Une solitude à l’intérieur.
Un autre à l’extérieur.
Et la porte résonne d’appels.
La plus grande solitude
est à la porte.
Chez Corti : Fragments verticaux, Treizième poésie verticale, Quatorzième poésie verticale, Quinzième poésie verticale, Poésie et création.
Dixième poesie verticale
Traduit de l’espagnol (Argentine) par F.M. Durazzo
Collection Ibériques (bilingue)
EAN 9782714310934
224 pages –23 Euros
Parution 4 octobre 2012
Roberto Juarroz (né en 1925, mort en 1995) est l’un des poètes argentins majeurs du XXème siècle. Il a publié toute son œuvre poétique sous un titre unique Poésie Verticale sans donner non plus aucun titre à ses poèmes.
Après avoir donné les derniers recueils de Juarroz : Treizième, Quatorzième et Quinzième Poésie verticale, nous proposons ici l’un des derniers recueils demeurés inédits en français.
Une solitude à l’intérieur,
une autre à l’extérieur.
Il est des moments
où les deux solitudes
ne peuvent se toucher.
L’homme se retrouve alors au milieu
comme une porte
inopinément fermée.
Une solitude à l’intérieur.
Un autre à l’extérieur.
Et la porte résonne d’appels.
La plus grande solitude
est à la porte.
Chez Corti : Fragments verticaux, Treizième poésie verticale, Quatorzième poésie verticale, Quinzième poésie verticale, Poésie et création.
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