- EAN13
- 9782897128906
- Éditeur
- Mémoire d'encrier
- Date de publication
- 27/02/2023
- Collection
- Roman/Récit
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782897128906
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11.99 -
Aide EAN13 : 9782897128913
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Maudite depuis des temps immémorables et sillonnant la mer des Caraïbes, la
sirène de Black Conch se laisse voir par David, un pêcheur solitaire incapable
de l’oublier, fasciné. Alors qu’elle a été capturée par des hommes sans
scrupules, David la libère et l’amène chez lui. Leur amour voit le jour, à
l’abri des regards. Monique Roffey remue le passé avec malice et efficacité:
en plongeant dans les eaux troubles de l’archétype féminin, avec cette femme
trop attirante, punie en devenant une créature marine proche du monstre, elle
offre un prétexte tout désigné pour confronter ses personnages à leurs
dissensions latentes, entretenues par des siècles de colonialisme. Une
histoire simple et puissante, aux allures de fable, portée par une plume aussi
riche que vive. – Chantal Fontaine, Revue Les Libraires Dans une langue ample,
sensuelle et audacieuse qui épouse à merveille la métamorphose de son héroïne,
Monique Roffey transforme une histoire en apparence familière en une
exploration contemporaine et passionnante de l’héritage du colonialisme, des
inégalités raciales et de la misogynie ordinaire. En adoptant en alternance
les points de vue de personnages qui occupent différents rangs dans la société
trinidadienne, la romancière expose la richesse et les nuances de la nature
humaine, le tout porté par des paysages à couper le souffle et un récit
ensorcelant. À lire. – Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir Le sixième
roman de Monique Roffey est un conte de fées : La sirène jette sa queue,
retrouve ses jambes, tombe amoureuse, combat une ancienne malédiction. Mais
c’est aussi une histoire de fantômes, le peuple et la terre même de Black
Conch hantés par l’héritage de colonialisme et d’esclavage de l’île… on ne
peut s’empêcher d’admirer l’audace de la vision de Roffey… Phrase après
phrase, Roffey construit un paysage verdoyant et un monde bouillonnant dans
lequel il est agréable de vivre. – Shruti Swamy, The New York Times Une joie à
lire, débordant de personnages inoubliables. – BBC News Sensuel, séduisant
mais sans fantaisie, le conte de Roffey transpose de manière convaincante une
créature mythique dans un cadre moderne – un accomplissement remarquable et
merveilleux. – Sunday Times
sirène de Black Conch se laisse voir par David, un pêcheur solitaire incapable
de l’oublier, fasciné. Alors qu’elle a été capturée par des hommes sans
scrupules, David la libère et l’amène chez lui. Leur amour voit le jour, à
l’abri des regards. Monique Roffey remue le passé avec malice et efficacité:
en plongeant dans les eaux troubles de l’archétype féminin, avec cette femme
trop attirante, punie en devenant une créature marine proche du monstre, elle
offre un prétexte tout désigné pour confronter ses personnages à leurs
dissensions latentes, entretenues par des siècles de colonialisme. Une
histoire simple et puissante, aux allures de fable, portée par une plume aussi
riche que vive. – Chantal Fontaine, Revue Les Libraires Dans une langue ample,
sensuelle et audacieuse qui épouse à merveille la métamorphose de son héroïne,
Monique Roffey transforme une histoire en apparence familière en une
exploration contemporaine et passionnante de l’héritage du colonialisme, des
inégalités raciales et de la misogynie ordinaire. En adoptant en alternance
les points de vue de personnages qui occupent différents rangs dans la société
trinidadienne, la romancière expose la richesse et les nuances de la nature
humaine, le tout porté par des paysages à couper le souffle et un récit
ensorcelant. À lire. – Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir Le sixième
roman de Monique Roffey est un conte de fées : La sirène jette sa queue,
retrouve ses jambes, tombe amoureuse, combat une ancienne malédiction. Mais
c’est aussi une histoire de fantômes, le peuple et la terre même de Black
Conch hantés par l’héritage de colonialisme et d’esclavage de l’île… on ne
peut s’empêcher d’admirer l’audace de la vision de Roffey… Phrase après
phrase, Roffey construit un paysage verdoyant et un monde bouillonnant dans
lequel il est agréable de vivre. – Shruti Swamy, The New York Times Une joie à
lire, débordant de personnages inoubliables. – BBC News Sensuel, séduisant
mais sans fantaisie, le conte de Roffey transpose de manière convaincante une
créature mythique dans un cadre moderne – un accomplissement remarquable et
merveilleux. – Sunday Times
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