- EAN13
- 9782874892417
- Éditeur
- Weyrich
- Date de publication
- 09/12/2014
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782874892417
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
13.99
Un thriller qui vous plongera au cœur de l'Ardenne belge des années 1950
Un fait divers relaté en quelques lignes dans les journaux de la province de
Luxembourg est le dénouement à peine croyable de ce roman.
Le destin de Maria Laruelle, fille d’un ouvrier d’usine de Bouillon, s’est
joué le 5 juillet 1953. Ce dimanche-là, en fin de matinée, quatre jeunes gens
de Sedan passaient la douane au Beaubru pour fêter l’anniversaire de l’un
d’entre eux, Lucien Bailly…
Jacques Nicolas s’inspire d’un fait divers pour livrer un roman prenant, ancré
sur les rives de la Semois. Avec Le cri des libellules, il offre un intrigant
chassé-croisé de souvenirs, démêlant peu à peu le mystère qui entoure cette
petite femme déterminée. Et jusqu’au dénouement, le lecteur s’interroge :
quels secrets renferme la maison de Bouillon?
L'auteur nous livre une fiction truffée de mystères et de secrets, avec pour
toile de fond la Wallonie du milieu du XXe siècle...
EXTRAIT
7 h 45...
Et Maria ouvre les yeux. Tout de suite, elle sait qu'elle pèse une tonne. Elle
s'efforce de laisser son corps à l'abandon, pas question de réveiller
brusquement les muscles... les douleurs ; la tête, ça va, elle se repasse
sans peine le film de la veille. La bouche close, elle inspire par le nez,
bloque sa respiration, compte mentalement jusqu'à cinq - c'est sa limite, au-
delà, elle meurt - puis libère doucement l'air vicié en faisant de la musique
entre ses lèvres. Elle recommence la manœuvre, tout en fixant les yeux d'une
jeune femme qui sourit dans son cadre accroché au mur : la photo en noir et
blanc d'un beau visage posé au creux de longues mains, les doigts écartés,
repliés sur les joues évoquant l'image d'une grosse araignée... crochets,
venin, fil tissé.
Un fait divers relaté en quelques lignes dans les journaux de la province de
Luxembourg est le dénouement à peine croyable de ce roman.
Le destin de Maria Laruelle, fille d’un ouvrier d’usine de Bouillon, s’est
joué le 5 juillet 1953. Ce dimanche-là, en fin de matinée, quatre jeunes gens
de Sedan passaient la douane au Beaubru pour fêter l’anniversaire de l’un
d’entre eux, Lucien Bailly…
Jacques Nicolas s’inspire d’un fait divers pour livrer un roman prenant, ancré
sur les rives de la Semois. Avec Le cri des libellules, il offre un intrigant
chassé-croisé de souvenirs, démêlant peu à peu le mystère qui entoure cette
petite femme déterminée. Et jusqu’au dénouement, le lecteur s’interroge :
quels secrets renferme la maison de Bouillon?
L'auteur nous livre une fiction truffée de mystères et de secrets, avec pour
toile de fond la Wallonie du milieu du XXe siècle...
EXTRAIT
7 h 45...
Et Maria ouvre les yeux. Tout de suite, elle sait qu'elle pèse une tonne. Elle
s'efforce de laisser son corps à l'abandon, pas question de réveiller
brusquement les muscles... les douleurs ; la tête, ça va, elle se repasse
sans peine le film de la veille. La bouche close, elle inspire par le nez,
bloque sa respiration, compte mentalement jusqu'à cinq - c'est sa limite, au-
delà, elle meurt - puis libère doucement l'air vicié en faisant de la musique
entre ses lèvres. Elle recommence la manœuvre, tout en fixant les yeux d'une
jeune femme qui sourit dans son cadre accroché au mur : la photo en noir et
blanc d'un beau visage posé au creux de longues mains, les doigts écartés,
repliés sur les joues évoquant l'image d'une grosse araignée... crochets,
venin, fil tissé.
S'identifier pour envoyer des commentaires.