- EAN13
- 9782402368179
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Sens & Tonka)
- Date de publication
- 1997
- Collection
- L'ombre du zèbre n'a pas de rayures
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Pour en finir avec la société de l'information : Le Cas Clinton
Léo Scheer
FeniXX réédition numérique (Sens & Tonka)
L'ombre du zèbre n'a pas de rayures
Livre numérique
Autre version disponible
« Le 21 septembre 1998, le monde assista au télescopage surréaliste de deux
images d’une même personne. D’un côté, le président Bill Clinton à l’ONU dans
le rôle du « gendarme du monde », de l’autre, le même Bill Clinton soumis
durant plus de quatre heures à l’interrogatoire inquisitorial de l’équipe du
juge Starr sur la nature exacte de ses relations avec Monica Lewinski. S’ils
s’entendaient à souligner l’extravagance de ce qui se passait sous les yeux de
toute la planète, les journalistes et les observateurs semblaient incapables
d’expliquer leur propre étonnement. Dans l’amoncellement d’articles et de
propos relatifs à ce qu’il est convenu d’appeler le « Monicagate », personne
ne semble en mesure d’indiquer en quoi ce qui ébranle les marchés financiers
et mobilise la totalité des « médias » serait le symptôme d’un mal profond qui
affecterait le monde dans lequel nous vivons...» L.S.
images d’une même personne. D’un côté, le président Bill Clinton à l’ONU dans
le rôle du « gendarme du monde », de l’autre, le même Bill Clinton soumis
durant plus de quatre heures à l’interrogatoire inquisitorial de l’équipe du
juge Starr sur la nature exacte de ses relations avec Monica Lewinski. S’ils
s’entendaient à souligner l’extravagance de ce qui se passait sous les yeux de
toute la planète, les journalistes et les observateurs semblaient incapables
d’expliquer leur propre étonnement. Dans l’amoncellement d’articles et de
propos relatifs à ce qu’il est convenu d’appeler le « Monicagate », personne
ne semble en mesure d’indiquer en quoi ce qui ébranle les marchés financiers
et mobilise la totalité des « médias » serait le symptôme d’un mal profond qui
affecterait le monde dans lequel nous vivons...» L.S.
S'identifier pour envoyer des commentaires.