La face cachée de l'ONU
EAN13
9782402161046
Éditeur
FeniXX réédition numérique (Sarment)
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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La face cachée de l'ONU

FeniXX réédition numérique (Sarment)

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782402161046
    • Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
    9.99

  • Aide EAN13 : 9782402494373
    • Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
    9.99
Ce livre brise un tabou : en matière de droits de l’homme, l’ONU inquiète.
Elle est en train d’enterrer la conception réaliste des droits de l’homme :
celle des déclarations de 1789 et de 1948, selon lesquelles tous les hommes
naissent avec les mêmes droits – droit à la vie, à la liberté, à
l’association, etc. Créée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, avec la
mission de promouvoir ces droits et de les faire respecter, l’ONU s’éloigne de
plus en plus de sa référence fondatrice qui l’appelait à édifier de nouvelles
relations internationales. Fortement influencée par la pensée anglo-saxonne,
l’ONU tend désormais à considérer les droits de l’homme comme le produit de
conventions qui, une fois ratifiées, acquièrent force de loi. Ici, la
recherche de la vérité n’a pas sa place. Le mot consensus est le nouveau
talisman, la source du droit ; c’est lui qui définit le « politiquement
correct ». Ainsi, en utilisant le droit international positif, l’ONU procède à
une concentration pyramidale du pouvoir. Rognant la juste souveraineté des
nations, elle se pose de plus en plus en super-État mondial. Elle exerce un
contrôle de plus en plus centralisé sur l’information, la santé et les
populations, les ressources du sol et du sous-sol, le commerce mondial et les
organisations syndicales, enfin – et surtout – sur le droit et la politique.
Exaltant le culte néopaïen de la Terre mère, elle prive l’homme de la place
centrale que lui reconnaissent les grandes traditions philosophiques,
juridiques et religieuses. Face à cette globalisation pleine d’ambiguïtés, il
est temps que les États se ressaisissent, car s’ils se laissent dissoudre, les
hommes seront sans défense devant une bureaucratie supranationale qui se sera
arrogé le monopole de définir le vrai et le faux, le bien et le mal, le juste
et l’injuste. L’auteur analyse cette dérive de l’ONU, tout en montrant qu’elle
n’a rien de fatal : elle appelle cependant la réaffirmation vigoureuse et
urgente du rôle de la société civile et de ce capital prodigieux qu’est la
personne humaine. Un livre non conformiste, unique en son genre et dérangeant.
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