- EAN13
- 9782213664361
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 05/01/2011
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 22,00
L’évolution est pour Jean-Marie Pelt une longue histoire. Dans les années
1960, quand il suivait les cours de botanique de la faculté de Nancy, on
apprenait encore par cœur la disposition respective des pétales, des étamines
et des pistils. L’émergence et l’évolution de ces formes et de ces structures
au cours des temps géologiques n’étaient jamais évoquées. Et pourtant,
l’évolution des espèces n’est pas l’apanage du monde animal, loin de là ! En
comparant les sociétés végétales et les sociétés humaines, Jean-Marie Pelt est
l’un des premiers scientifiques à faire des plantes de « vrais » êtres vivants
pour le commun des mortels. Au fil de ses observations, le doute s’insinue
malgré tout : comment un mécanisme aussi simple que la sélection naturelle
pourrait-il tout expliquer ? Comment, par exemple, certaines orchidées
peuvent-elles se modifier au point de donner à un de leurs pétales l’apparence
visuelle et olfactive d’un insecte ? Aucun botaniste ne s’était jusqu’ici
vraiment exprimé sur les mécanismes de l’évolution et sur ses « orientations »
dans le règne végétal : cette lacune est désormais comblée.
1960, quand il suivait les cours de botanique de la faculté de Nancy, on
apprenait encore par cœur la disposition respective des pétales, des étamines
et des pistils. L’émergence et l’évolution de ces formes et de ces structures
au cours des temps géologiques n’étaient jamais évoquées. Et pourtant,
l’évolution des espèces n’est pas l’apanage du monde animal, loin de là ! En
comparant les sociétés végétales et les sociétés humaines, Jean-Marie Pelt est
l’un des premiers scientifiques à faire des plantes de « vrais » êtres vivants
pour le commun des mortels. Au fil de ses observations, le doute s’insinue
malgré tout : comment un mécanisme aussi simple que la sélection naturelle
pourrait-il tout expliquer ? Comment, par exemple, certaines orchidées
peuvent-elles se modifier au point de donner à un de leurs pétales l’apparence
visuelle et olfactive d’un insecte ? Aucun botaniste ne s’était jusqu’ici
vraiment exprimé sur les mécanismes de l’évolution et sur ses « orientations »
dans le règne végétal : cette lacune est désormais comblée.
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