L’autre jour je tombe sur Winnie l’Ourson (le livre) au hasard du rayon, je le trouve magnifique, même si Winnie (l’ourson) je l’ai toujours trouvé un peu limité… Eh bien, vous me croirez si vous voulez, le Winnie, je l’ai chez moi maintenant. Sacré Winnie, j’aurais jamais pensé qu’il me convaincrait aussi vite. Chapeau l’ourson. Addictif comme pas deux. Un livre de strips, pour lire aux toilettes, pour y rester longtemps…

Des combats contre des démons, une romance impossible, la trahison d'un frère, et même, un dragon... Ségurant, ou la (re)naissance d'un roman perdu de la Table Ronde.

Le Japon, c’est un vertige. Il y a des attraits, comme ça, des envies qu’on n’explique pas, ou bien si, on essaye, en quelques mots, de dire à quel point cette culture, fascinante et cette envie de rencontre, d’un pays, d’une histoire, d’un peuple, nous ont porté pendant cinq, dix, quinze, vingt ans. On essaye de dire qui on est, pourquoi on est. Un voyage pour rencontrer l’autre et se rencontrer.

Et puis, il y a la chute.

La légende raconte que je ne parle (presque) plus que de ce livre depuis sa parution en janvier 2020. La légende est vraie : je l’ai lu, il m’a époustouflé. Je l’ai relu, il m’a re-époustouflé. Je pense le re-relire bientôt. J'y retrouve tellement, de l'Odyssée, du Chrétien de Troyes, du Petit Prince, du Shakespeare, du conte, du théâtre, de la comédie et de la tragédie...

L’histoire, tout le monde la connaît. Trois biquettes intrépides qui veulent passer le pont pour aller manger l’herbe plus verte du voisin, mais sous le pont il y a le troll, et le troll, il est méchant, il est moche et il a faim. Si vous connaissez déjà ce conte, sachez que le troll n’a jamais été aussi méchant, aussi moche, et il n’a jamais eu aussi faim que dans cette version…