EAN13
9782874895777
ISBN
978-2-87489-577-7
Éditeur
Weyrich
Date de publication
Collection
BATAILLE DES AR
Nombre de pages
280
Dimensions
19,5 x 12,9 x 2,5 cm
Poids
327 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Ultimes confidences

Le siège de Bastogne par ses derniers survivants

Weyrich

Bataille Des Ar

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Ils deviennent rares ces témoignages de militaires ou de civils toujours en vie, qui étaient au coeur des événements de décembre 1944 à janvier 1945 dans le périmètre de Bastogne.
Dans l’ouvrage que voici, Philippe Carrozza a rencontré le lieutenant allemand Ludwig Bauer, commandant de chars qui raconte sa campagne de Russie, mais aussi sa participation à celle de Normandie, puis à la Bataille des Ardennes et enfin à la défense du Reich. Il explique comment il a vécu l’hiver 1944 et l’Offensive Von Rundstedt. Lors de la guerre, de 1941 à 1945, il sortira neuf fois vivant de son blindé en feu. Il reconnaît qu’il a échappé à la mort à maintes reprises, comme ce 10 avril 1945, l’ultime fois, quand il sort grièvement brûlé de son Panther. Ludig Bauer, décoré de la prestigieuse Croix de chevalier de la Croix de fer vit toujours à Zuckelzau en Allemagne. Après la guerre, il a fait carrière dans l’armée allemande qu’il a quittée avec le grade de général.
Ce livre fait aussi la part belle à Roger Krier, copain d’enfance de Louis Mostade. Ils avaient tout deux 12 et 13 ans en décembre 1944. Réfugiés dans les caves avec leurs parents, ils ont écrit et décrit dans leurs cahiers scolaires, tout ce qu’ils ont vécu. Roger Krier est toujours en vie. Nous avons mis son témoignage en parallèle avec celui que feu Louis Mostade avait couché sur papier en 2005. Louis Mostade et donc aussi Roger Krier ont inspiré le personnage d’»Émile, l’enfant courage» qui est un des personnages clés du parcours du War Muséum de Bastogne.
L’auteur a rencontré également une ancienne élève de l’école des Soeurs de Bastogne qui s’est souvenue du siège de la ville détaillant comment la centaine de pensionnaires bloquées dans les caves avec les religieuses a vécu les jours angoissants de la Bataille des Ardennes.
Un Bruxellois, Georges Michils, raconte aussi son parcours d’infirmier de la Croix-Rouge, puis comme brancardier au service de l’armée américaine à la fin de l’année 1944.
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