- EAN13
- 9782896158782
- Éditeur
- "Alire"
- Date de publication
- 26/03/2015
- Collection
- Les Cahiers noirs de l'aliéniste
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Et à l'heure de votre mort
Les Cahiers noirs de l'aliéniste -3
Jacques Côté
"Alire"
Les Cahiers noirs de l'aliéniste
Livre numérique
17 septembre 1894… La grande salle de l’hôtel Windsor est bondée de notables.
Tous sont venus entendre Georges Villeneuve, médecin-expert à la morgue de
Montréal, et son collègue, le docteur Wyatt Johnston, exposer les raisons qui
les poussent à demander la construction d’une nouvelle morgue. Villeneuve a à
peine terminé son discours quand surgit le lieutenant Bruno Lafontaine : une
atrocité s’est produite dans un taudis de Griffintown et il a besoin de son
expertise. Sur la scène du crime, une jeune femme gît dans son sang,
littéralement éventrée à la suite d’un avortement clandestin. Villeneuve, qui
tente d’inculquer aux forces de l’ordre des méthodes d’analyse modernes,
découvre bien peu d’indices en raison de l’incurie des agents. L’enquête sera
longue et laborieuse. Villeneuve n’en poursuit pas moins ses autopsies à la
morgue, ses cours aux étudiants en médecine et, depuis peu, son travail d
’assistant-surintendant à l’asile Saint-Jean-de-Dieu, car il a enfin obtenu le
poste d’aliéniste qu’il convoitait. Or, quand une deuxième, puis une troisième
boucherie sont découvertes, la presse s’enflamme et la pression pour que soit
arrêté le fou meurtrier devient intenable. Pour Villeneuve, à cette obligation
de résultat immédiat s’ajoute une terrible responsabilité : celle de
l’aliéniste, dont le devoir est de protéger à tout prix les personnes
atteintes de maladie mentale !
Tous sont venus entendre Georges Villeneuve, médecin-expert à la morgue de
Montréal, et son collègue, le docteur Wyatt Johnston, exposer les raisons qui
les poussent à demander la construction d’une nouvelle morgue. Villeneuve a à
peine terminé son discours quand surgit le lieutenant Bruno Lafontaine : une
atrocité s’est produite dans un taudis de Griffintown et il a besoin de son
expertise. Sur la scène du crime, une jeune femme gît dans son sang,
littéralement éventrée à la suite d’un avortement clandestin. Villeneuve, qui
tente d’inculquer aux forces de l’ordre des méthodes d’analyse modernes,
découvre bien peu d’indices en raison de l’incurie des agents. L’enquête sera
longue et laborieuse. Villeneuve n’en poursuit pas moins ses autopsies à la
morgue, ses cours aux étudiants en médecine et, depuis peu, son travail d
’assistant-surintendant à l’asile Saint-Jean-de-Dieu, car il a enfin obtenu le
poste d’aliéniste qu’il convoitait. Or, quand une deuxième, puis une troisième
boucherie sont découvertes, la presse s’enflamme et la pression pour que soit
arrêté le fou meurtrier devient intenable. Pour Villeneuve, à cette obligation
de résultat immédiat s’ajoute une terrible responsabilité : celle de
l’aliéniste, dont le devoir est de protéger à tout prix les personnes
atteintes de maladie mentale !
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