La femme qui avait perdu son âme

Bob Shacochis

Éditions Gallmeister

  • Conseillé par
    24 janvier 2017

    Un roman politique ample et kaléidoscopique absolument fabuleux qui nous raconte une histoire du 20è siècle entre Europe, Etats-Unis et Caraïbes.
    Malgré son épaisseur, le livre est écrit dans un style très agréable et n'est jamais laborieux ni ennuyeux.


  • Conseillé par
    10 janvier 2016

    Un vrai thriller politique

    Quelle fresque... Les Nord-Américains ne s'y sont pas trompés : « digne successeur...de Graham Greene et John le Carré » ont-ils souligné à la parution de ce pavé en 2013. Finaliste du prix Pulitzer l'année suivante (avec Philipp Meyer pour « Le Fils » et Donna Tartt qui l'a emporté avec « Le Chardonneret », sacré trio !), ce livre vous tiendra en haleine plusieurs soirs d'affilée. Thriller politique, roman d'espionnage (les analyses géopolitiques sur les conflits contemporains sont passionnantes), histoire d'amour aux personnages inoubliables (même les « méchants »), tous les ingrédients mélangés par Bob Shacochis concourent à la réussite de ce livre. L'auteur s'est inspiré de son expérience personnelle de correspondant de guerre (notamment en Haïti). Pas étonnant dès lors que la trame de cette fiction soit très réaliste. Qui était Jackie Scott (née Kovacevic, Dorothy), connue sous divers patronymes (Renee Gardener, Dottie Chambers) ? Plusieurs protagonistes tentent d'éclaircir le mystère de cette femme, façonnée par un père monstrueux autant que fascinant.

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