- EAN13
- 9782752912404
- ISBN
- 978-2-7529-1240-4
- Éditeur
- Phébus
- Date de publication
- 19/08/2021
- Collection
- LITTERATURE FRA
- Nombre de pages
- 141
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 1,1 cm
- Poids
- 180 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Un futur proche, pas si loin, qui pourrait être le nôtre.
Depuis qu'un virus aviaire a frappé la planète, les oiseaux de basse-cour sont interdits. La société française souffre de restrictions draconiennes. Dans un Paris déchu, la conscience collective cède place à l'instinct populaire.
Une fois l'an, la foule a droit à son charivari : du haut d'un célèbre restaurant, un canard spécialement élevé pour l'occasion est lâché. Le peuple exulte et laisse libre cours à ses pulsions : celui qui capturera le canard échappera à la misère. Les jeux sont ouverts ; la chasse commence, perdue d'avance pour l'infortuné volatile.
Sauf que cette année, et avec l'aide de quelques rêveurs, le canard est bien décidé à jouer crânement sa chance...
Dans ce premier roman aux allures de course poursuite, Eloi Audoin-Rouzeau joue de sa plume poétique pour interroger la violence sociale. Face à la bestialité tapie, il convoque notre humanité, en appelle à l'individu et à son libre-arbitre.
Depuis qu'un virus aviaire a frappé la planète, les oiseaux de basse-cour sont interdits. La société française souffre de restrictions draconiennes. Dans un Paris déchu, la conscience collective cède place à l'instinct populaire.
Une fois l'an, la foule a droit à son charivari : du haut d'un célèbre restaurant, un canard spécialement élevé pour l'occasion est lâché. Le peuple exulte et laisse libre cours à ses pulsions : celui qui capturera le canard échappera à la misère. Les jeux sont ouverts ; la chasse commence, perdue d'avance pour l'infortuné volatile.
Sauf que cette année, et avec l'aide de quelques rêveurs, le canard est bien décidé à jouer crânement sa chance...
Dans ce premier roman aux allures de course poursuite, Eloi Audoin-Rouzeau joue de sa plume poétique pour interroger la violence sociale. Face à la bestialité tapie, il convoque notre humanité, en appelle à l'individu et à son libre-arbitre.
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