- EAN13
- 9782924559062
- Éditeur
- Département de sociologie, Faculté des sciences sociales, Université Laval
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Recherches sociographiques. Vol. 58 No. 1, Janvier-Avril 2017
Guillaume Grenon, Guillaume Latzko-Toth, Madeleine Pastinelli, Nicole Gallant, Christian Poirier, Line Grenier, Kimsuch Sawchuk, Daniel Poitras, Jean Quirion, Guy Chiasson, Marc Charron, Philippe Vienne, Jocelyn Létourneau, Louis-Georges Harvey, Jacque...
Département de sociologie, Faculté des sciences sociales, Université Laval
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782924559062
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10.00
Ce numéro de janvier-avril, La sociologie des médias au Québec, marque
l’intérêt croissant des sciences sociales pour les processus médiatiques,
surtout ceux liés au numérique. Jonathan Roberge et Guillaume Grenon tentent
d’abord de définir le Web québécois du point de vue de la sociologie politique
de la communication et s’interrogent sur la manière dont le Québec se
transforme dans et par le numérique. Guillaume Lazko-Toth, Madeleine
Pastinelli et Nicole Gallant, eux, enquêtent sur la manière dont les jeunes
s’informent de l’actualité politique en prenant l’exemple du Printemps érable.
Les auteurs documentent quels types d’informations circulaient sur les réseaux
sociaux et sous quelles formes, se demandant ce qui est vraiment nouveau dans
l’expression « nouveau média ». Quant à lui, Christian Poirier relativise
l’argument d’une révolution technologique. Enfin, Line Grenier et Kim Sawchuck
portent un regard critique sur la médiatisation à travers le cas des
mobilisations éclair (flash mob).
l’intérêt croissant des sciences sociales pour les processus médiatiques,
surtout ceux liés au numérique. Jonathan Roberge et Guillaume Grenon tentent
d’abord de définir le Web québécois du point de vue de la sociologie politique
de la communication et s’interrogent sur la manière dont le Québec se
transforme dans et par le numérique. Guillaume Lazko-Toth, Madeleine
Pastinelli et Nicole Gallant, eux, enquêtent sur la manière dont les jeunes
s’informent de l’actualité politique en prenant l’exemple du Printemps érable.
Les auteurs documentent quels types d’informations circulaient sur les réseaux
sociaux et sous quelles formes, se demandant ce qui est vraiment nouveau dans
l’expression « nouveau média ». Quant à lui, Christian Poirier relativise
l’argument d’une révolution technologique. Enfin, Line Grenier et Kim Sawchuck
portent un regard critique sur la médiatisation à travers le cas des
mobilisations éclair (flash mob).
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