- EAN13
- 9782824055015
- Éditeur
- Editions des Régionalismes
- Date de publication
- 31/05/2020
- Collection
- Au Viu Leupard
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Le Ciel - l'Océan - la Forêt : le Triptyque (poèmes de la Côte d'Argent)
Maurice Martin
Editions des Régionalismes
Au Viu Leupard
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782824055015
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Le Triptyque est considéré comme une des productions les plus belles et les
plus sincères de la vaillante pensée régionaliste, parmi celles parues depuis
de nombreuses années. D’aucuns disent même la plus belle [...] Jadis, nous
avons parcouru avec Maurice Martin, sac au dos, le bourdon du pèlerin en main,
ces troublantes régions quasi inexplorées du littoral de Gascogne, que sa muse
a chantées avec tant d’émotion et d’enthousiasme. [...] Heures d’inoubliables
contemplations dans la magie des forêts pensives et des étangs mystiques, sous
l’enveloppement des visions les plus exotiques, sans doute, que notre vieille
Gaule réserve aux fervents de la Nature... (extrait de la présentation de
l’édition définitive de 1923).
« ...Maurice MARTIN, lui, n’avait pas attendu cette mode littéraire pour
regarder les Landes, les admirer, les aimer. Il les parcourt depuis quarante
ans. Il est devenu leur parrain attentif et affectionné. C’est lui, nul ne
l’ignore, qui donna le nom de Côte d’Argent à ce coin de France qui se situe
entre l’embouchure de la Gironde et celle de la Bidassoa. Et pour cette belle
filleule, il a noblement bataillé. Il l’a d’abord célébrée en prose, et voici
que, pour l’amour d’elle, il hausse le ton et s’exprime en vers. Connaissant à
fond les divers aspects de ce pays, il nous les montre tour à tour et leur
consacre des strophes émues. Rien n’est oublié dans ses louanges, ni les pins,
ni les lettes, ni les étangs, ni les dunes. Il dit les ajoncs et les fougères,
les cigales et les palombes. Il décrit le bros et le hapchott. Il
s’enthousiasme pour le fleuve et s’attendrit sur le ruisseau. Il énumère les
fastes de Biarritz et d’Arcachon, les agréments d’Hossegor et de Moliets...
(extrait de la Préface de Jean Rameau).
Maurice Martin, né et mort à Bordeaux (1861-1941), journaliste et écrivain
régionaliste, fut l’inventeur (en 1905) — et son infatigable illustrateur et
défenseur — de la dénomination « Côte d’Argent », slogan poético-touristique
qui perdurera, un siècle plus tard, pour désigner le littoral atlantique,
entre Royan et Biarritz, et plus particulièrement le littoral des départements
girondin et landais.
plus sincères de la vaillante pensée régionaliste, parmi celles parues depuis
de nombreuses années. D’aucuns disent même la plus belle [...] Jadis, nous
avons parcouru avec Maurice Martin, sac au dos, le bourdon du pèlerin en main,
ces troublantes régions quasi inexplorées du littoral de Gascogne, que sa muse
a chantées avec tant d’émotion et d’enthousiasme. [...] Heures d’inoubliables
contemplations dans la magie des forêts pensives et des étangs mystiques, sous
l’enveloppement des visions les plus exotiques, sans doute, que notre vieille
Gaule réserve aux fervents de la Nature... (extrait de la présentation de
l’édition définitive de 1923).
« ...Maurice MARTIN, lui, n’avait pas attendu cette mode littéraire pour
regarder les Landes, les admirer, les aimer. Il les parcourt depuis quarante
ans. Il est devenu leur parrain attentif et affectionné. C’est lui, nul ne
l’ignore, qui donna le nom de Côte d’Argent à ce coin de France qui se situe
entre l’embouchure de la Gironde et celle de la Bidassoa. Et pour cette belle
filleule, il a noblement bataillé. Il l’a d’abord célébrée en prose, et voici
que, pour l’amour d’elle, il hausse le ton et s’exprime en vers. Connaissant à
fond les divers aspects de ce pays, il nous les montre tour à tour et leur
consacre des strophes émues. Rien n’est oublié dans ses louanges, ni les pins,
ni les lettes, ni les étangs, ni les dunes. Il dit les ajoncs et les fougères,
les cigales et les palombes. Il décrit le bros et le hapchott. Il
s’enthousiasme pour le fleuve et s’attendrit sur le ruisseau. Il énumère les
fastes de Biarritz et d’Arcachon, les agréments d’Hossegor et de Moliets...
(extrait de la Préface de Jean Rameau).
Maurice Martin, né et mort à Bordeaux (1861-1941), journaliste et écrivain
régionaliste, fut l’inventeur (en 1905) — et son infatigable illustrateur et
défenseur — de la dénomination « Côte d’Argent », slogan poético-touristique
qui perdurera, un siècle plus tard, pour désigner le littoral atlantique,
entre Royan et Biarritz, et plus particulièrement le littoral des départements
girondin et landais.
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