- EAN13
- 9782366596366
- Éditeur
- Le Mono
- Date de publication
- 17/04/2018
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782366596366
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
2.49
Autre version disponible
-
Papier - LE MONO 13,50
Découvrez ce qu’était la civilisation mexicaine et aztèque avant sa conquête
par les conquistadors. Quels étaient le capital intellectuel et matériel de
l’empire mexicain, à quelle hauteur morale il était parvenu, quelle en était
la condition religieuse ? « Ce que Cortez et ses compagnons avaient recueilli
sur le Mexique indiquait quelque chose à part dans le Nouveau-Monde, une
nation dont l’opulence et la puissance n’avaient pas de bornes dans l’opinion
de ces tribus, qui pourtant n’étaient pas étrangères aux éléments de la
civilisation, car elles avaient de belles cultures et des villes. Les Aztèques
(tel était le nom des Mexicains proprement dits) avaient porté leurs armes au
loin jusqu’à des centaines de lieues de Tenochtitlan (aujourd’hui Mexico),
leur capitale ; ils avaient fait de grandes conquêtes qu’ils avaient
conservées, et répandu partout la terreur de leurs armes. Jusqu’à Guatemala,
on reconnaissait leurs lois ou leur suprématie...»
par les conquistadors. Quels étaient le capital intellectuel et matériel de
l’empire mexicain, à quelle hauteur morale il était parvenu, quelle en était
la condition religieuse ? « Ce que Cortez et ses compagnons avaient recueilli
sur le Mexique indiquait quelque chose à part dans le Nouveau-Monde, une
nation dont l’opulence et la puissance n’avaient pas de bornes dans l’opinion
de ces tribus, qui pourtant n’étaient pas étrangères aux éléments de la
civilisation, car elles avaient de belles cultures et des villes. Les Aztèques
(tel était le nom des Mexicains proprement dits) avaient porté leurs armes au
loin jusqu’à des centaines de lieues de Tenochtitlan (aujourd’hui Mexico),
leur capitale ; ils avaient fait de grandes conquêtes qu’ils avaient
conservées, et répandu partout la terreur de leurs armes. Jusqu’à Guatemala,
on reconnaissait leurs lois ou leur suprématie...»
S'identifier pour envoyer des commentaires.